Je veux équiper cette maquette de feux stoboscopiques pour lesquels j’ai décidé de construire mon propre circuit imprimé. Ceux disponibles sur le marché n’offrent généralement qu’un clignotement lent ON-OFF-ON-OFF sur une ou deux diodes. Je voulais obtenir une séquence plus complexe de 3 à 4 éclairs forts, suivis d’une pause avant de recommencer.
Photo n°10.1 – Les pièces sont arrivées. Un amas de sachets qui contiennent des pièces électroniques.
Photo n°10.2 – Les circuits intégrés NE555, coeurs de la solution.
Photo n°10.3 – Essai de la platine d’expérimentation. Résultat pas mal du tout !
Photo n°10.4 – De nuit ça jette carrément !
VIDEO
Video – Le beacon de queue flashe très bien !
Photo n°10.5 – Etape importante : le collage de l’intérieur dans la moitié droite du fuselage. Il s’agit d’ajuster la position dans toutes les directions et maintenir le tout jusqu’à séchage de la colle.
Photo n°10.6 – Connexion des fils et test de l’ensemble. Tout fonctionne comme prévu. La diode au bout de la flèche se connectera aux fibres optiques identifiées par l’autre flèche.
Photo n°10.7 – Lumières dans la pénombre. Quand l’aile sera connectée ce sera un véritable sapin de Noël !
Photo n°10.8 – (1) La diode lumineuse dans un tube aluminium. Elle envoie la lumière sur : (2) le faisceau de fibres optiques qui, à leur tour, transportent la lumière vers : (3) les lumières des ordinateurs.
Photo n°10.9 – Le faisceau de fibres optiques de plus près.
Photo n°10.10 – L’ensemble presque prêt à être refermé. Il n’y a plus de place. Il aurait été impossible de loger le moindre circuit électronique là-dedans.
Photo n°10.11 – La caverne où le projet de petite maquette d’une semaine en février a tout d’un coup pris de l’ampleur. C’est toute la partie électronique (pourtant simple) qui en est responsable.
Photo n°10.12 – Construction du circuit électronique définitif à partir du prototype. Au verso de la plaque du circuit je coupe d’abord quelques lignes à l’aide d’une mèche.
Photo n°10.13 – Début du montage des socles pour les circuits intégrés 555. Il faut faire attention, le montage est inversé au dos de la platine. Surtout ne pas se fourvoyer, sinon pfffft !
Photo n°10.14 – Au recto voici ce que ça donne. Je pourrai changer les timers si jamais un problème survenait à la mise sous tension.
Photo n°10.15 – Voici le circuit assemblé et sous tension. Tout se déroule comme prévu, sans surprises. La LED clignote selon le rythme prévu.
Photo n°10.16 – Le prototype au banc d’essai. Je relève la sortie des 2 timers pour voir comment ils sont synchronisés et mesurer quelques valeurs, qui se laissent aussi calculer, mais je suis nul avec les pico, nano, micro et autres puissances de 10.
Photo n°10.17 – Voici les valeurs que je relève : le premier timer bascule en mode « instable » toutes les 1.5secondes et le second toutes les 128ms (=7.81Hz). Je mesure 8.6V en sortie (sur 9V en entrée) du 1er timer, et 7.8 en sortie du second. Pertes internes ? Pas facile pour un novice l’utilisation de l’oscilloscope. Mais on s’y fait progressivement, je suis assez satisfait de ma courbe de progrès 🙂