Ce chapitre décrit les finitions, notamment les antennes et nacelles ECM. Entre-temps l’avion a reçu son train d’atterrissage (voir chapitre 8 et chapitre 13) et s’approche doucement de la fin.
Aujourd’hui 28 septembre, petite reprise des travaux, pendant que mes mouvements de montre attendent des pièces…
L’Alimentation Electrique
Photo n°14.01 – Voilà la grosse artillerie qui se met gentiment en position pour alimenter mes maquettes sans courant du secteur. Et ce pour plus que tout un week-end !Photo n°14.02 – 1. Une alimentation 220/12V à 250W de puissance fournit le courant à un chargeur LiPo. Ce dernier, entièrement paramétrable, charge des accus LiPo, en l’occurrence des packs de 4’000 Ah et plus, en 1 heure ou moins ! Les packs, un par maquette, donnent leur énergie aux maquettes.
Les Antennes
Photo n°14.03 – Ce bout de laiton donnera une antenne. J’ai commencé par fabriquer la plus grande d’entre toutes, pour me faire la main. Le petit tété (=ergot) qui dépasse est pour planter l’antenne dans le fuselage.Photo n°14.04 – Finition des surfaces d’abord à la lime aux échappements n°6, puis au microfilm 30microns. Toujours le tété au bout de la flèche rouge…Photo n°14.05 – Voilà, la première d’une longue série d’antennes est en place. Je les peindrai toutes avant le collage définitif.Photo n°14.06 – Suit un perçage du trou pour le tété. Il s’agit de bien center latéralement ce trou. Il fait 0.3mm de diamètre. Notez la quantité de poussière qui s’est accumulée depuis le 14 août !Photo n°14.07 – La petite production du week-end : 28 appendices sous forme d’antennes variées, de tubes pitot et de senseurs d’angle d’attaque (AoA), dont plusieurs sont constitués de trois pièces soudées.Photo n°14.08 – Les antennes en attente de peinture. Cet avion va ressembler à un hérisson !Photo n°14.09 – Un hérisson bien défendu grâce à ses deux pods ECM. Les antennes sont peintes de teintes diverses.Photo n°14.10 – Pose des antennes. Il ne faut pas avoir la grulette 😀Photo n°14.11 – L’oiseau se hérisse de toutes sortes d’appendices. Avec un tel harnachement il doit au moins perdre 50 noeuds de vitesse de pointe.Photo n°14.12Photo n°14.13Photo n°14.14Photo n°14.15
La Porte
Photo n°14.16 – Fabrication de la porte en laiton. La partie inférieure comporte deux marches que je découpe également aux ciseaux dans une feuille de laiton. J’ai fait au préalable un modèle en papier pour vérifier les dimensions et l’emplacement des pliages.Photo n°14.17 – Et le bas de porte présenté devant l’ouverture 🙂 – Je soude les rabatures. Notez le système de fixation au fil de fer qui permet d’avoir les deux mains libres.Photo n°14.18 – Autre méthode de fixation : un étau à main et une pincette. Photo n°14.19 – Quelques ajouts plus tard… je me suis essayé à la gravure du système de fermeture.Photo n°14.20 – Le bas de porte est présenté devant l’ouverture.Photo n°14.21 – Vue « sol ». Avant même la peinture l’ensemble parait déjà très réaliste.Photo n°14.22 – Après peinture. Les deux demi-portes, en scratch intégral (laiton + feuille de couvercle de yaourt + carton). Notez les goupilles de fixation et les deux poulies et câbles de rétraction de la porte inférieure.Photo n°14.23 – Je trouve que ces portes vous invitent à monter à bord 🙂Photo n°14.24 – Détail. J’ai peint les marques de service sur le mécanisme d’ouverture de la porte supérieure.
La maquette est enfin F-I-N-I-E. Il reste le diorama à compléter.